
Je vous invite à lire la réponse du CRIIGEN à Charlie Hebdo cliquer sur la phrase ci-dessous :
https://criigen.org/lettre-a-charlie-cest-dur-detre-vaccine-par-des-cons/
Face aux interrogations légitimes sur les différents vaccins contre COVID 19, voici des éléments d’information scientifique pour nous éclairer, par 2 personnalités du CRIIGEN (Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le Génie Génétique). Et ensuite une info sur un vaccin « classique » à virus inactivé.
Le Dr Christian VÉLOT, généticien moléculaire à l’université Paris-Saclay et Président du Conseil Scientifique du CRIIGEN, propose une vidéo expliquant les différents types de vaccins contre la COVID-19.
https://criigen.org/covid-19-les-technologies-vaccinales-a-la-loupe-video/
Le Dr Jacques TESTART, directeur de recherche honoraire à l’INSERM, biologiste de la procréation, s’exprime sur le sujet des vaccins :
Protéger sa personne bien sûr ! Mais quid du risque collectif ?
Ou de la responsabilité individuelle de se vacciner
à la responsabilité collective de ne pas le faire pour protéger l’humanité…
« Le risque que l’organisme d’une personne vaccinée soit le siège d’une recombinaison virale défavorable est infime. Mais le nombre considérable des vaccinés dans le monde par centaines de millions ou davantage fait qu’il est très probable que cela arrive quelque part, et qu’un virus bien plus virulent se dissémine dans les populations, vaccinées ou non.
Alors l’argument responsabilisant « Si tu ne te fais pas vacciner, tu fais courir un risque aux autres » se retourne, en faisant de chaque vacciné un nouveau foyer potentiel ! Se vacciner, à coup sûr bénéfique pour soi, peut être irresponsable pour l’espèce. Les mêmes recombinaisons peuvent survenir après infection naturelle (81 millions de cas début janvier 2021), mais deviennent beaucoup plus probable après vaccinations (plusieurs milliards de personnes ?).
On se retrouve dans la même situation individuelle qu’avec la surconsommation qui aggrave les atteintes à l’environnement : la responsabilité serait de s’abstenir plutôt que consommer si le collectif importe davantage que le bien-être/confort de chacun.
Le choix de ne pas se vacciner pourrait illustrer l’inversion de la responsabilité telle que définie par les injonctions officielles, au nom du souci des autres…
En l’absence de médicaments efficaces, on ne sortira de ces contradictions qu’avec l’arrivée de vaccins « classiques » à virus inactivés ou protéines recombinantes. »
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Vaccins « classiques » à virus inactivés,
pour les dernières nouvelles du vaccin Valnéva 10 Novembre 2021 :
La Commission Européenne a (enfin) approuvé un contrat avec la société française de biotechnologie en vue de se procurer un nouveau vaccin potentiel contre le Covid. Il prévoit la possibilité pour tous les États membres de l’Union d’acheter près de 27 millions de doses disponibles dès avril 2022. Il prévoit aussi la possibilité d’adapter le vaccin aux nouvelles souches et permettra aux États membres de commander jusqu’à 33 millions de vaccins supplémentaires en 2023.
» La Commission, avec l’appui des États membres de l’Union, a décidé de soutenir ce vaccin sur la base d’une évaluation scientifique solide, de la technologie utilisée, de l’expérience acquise par la société en matière de développement de vaccins et de sa capacité de production, qui lui permettra d’approvisionner tous les États membres « , précise Bruxelles.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré: « Le contrat permet d’adapter le vaccin aux nouveaux variants… »
historique:
-Une petite société franco-autrichienne Valneva a annoncé le 18/10/2021 des résultats initiaux positifs pour l’essai pivot de Phase 3 Cov-Compare de son candidat vaccin à virus inactivé et adjuvanté contre la Covid-19, VLA2001. Ce dernier remplit avec succès les deux principaux critères d’évaluation de l’essai. Il produit des niveaux de titres d’anticorps supérieurs comparés au vaccin d’AstraZeneca. Le taux de séroconversion des anticorps neutralisants est supérieur à 95%.
VLA2001 a entraîné une large réponse des lymphocytes T produisant de l’interféron gamma spécifique contre les protéines S, N et M.
VLA2001 a été bien toléré, démontrant un profil de tolérance meilleur, de façon statistiquement significative, que celui du vaccin comparateur.
Thomas Lingelbach de Valneva, a indiqué: » Ces excellents résultats confirment les avantages souvent associés aux vaccins à virus entier inactivés. Nous sommes déterminés à faire enregistrer notre candidat vaccin différencié le plus rapidement possible et nous continuons de croire que nous pourrions apporter une contribution majeure à la lutte mondiale contre la pandémie de Covid-19″.
Une validation finale de l’un des tests utilisés dans l’essai a été requise par la MHRA afin de vérifier l’intégrité des données de VLA2001-301. Cette validation est actuellement en cours et constitue une condition préalable à la soumission finale du rapport d’étude clinique.
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« VLA2001 « le candidat vaccinal de Valneva contre le virus du SRAS-CoV-2. VLA2001 se compose de particules de virus entiers inactivées du SRAS-CoV-2 à haute densité de protéines S, en combinaison avec 2 adjuvants, l’alun et le CpG 1018.
Notre vaccin VLA2001 est classique puisqu’il inocule un virus désactivé. Il s’agit donc d’une technologie déjà éprouvée qui devrait bien répondre aux préconisations des médecins concernant les populations à faible risque de déclencher une forme grave de la maladie, et qui pourrait également être utilisé chez les personnes immunodéprimées ou les femmes enceintes qui ne peuvent se faire vacciner avec les vaccins actuellement approuvés. L’intérêt qu’ont porté le gouvernement anglais et plus récemment la Commission Européenne valident cette thèse. Nous sommes les seuls en Europe et aux Etats-Unis à proposer cette forme inactivée. »
« Nous pensons justement qu’en utilisant un vaccin inactivé nous devrions théoriquement plus facilement conserver l’efficacité du vaccin en cas de mutation car avec cette approche vous conservez l’intégralité de l’enveloppe du virus contrairement à d’autres vaccins qui ne ciblent qu’une seule protéine du virus et vous générez donc une grande variété d’anticorps. L’ajout de l’adjuvant de Dynavax devrait favoriser cette capacité d’adaptation et l’effet dans la durée de notre vaccin. »
Avec un virus entier, c’est une meilleure immunité face aux variants.
Un vaccin INACTIVE , conservé avec un SIMPLE FRIGO , facilement transportable …Une bénédiction pour les pays CHAUDS et pauvres ..
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Pour suivre l’évolution de l’épidémie : CovidTracker – France
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Médicaments :
Parmi les médicaments en recherche :
Une petite société nantaise vient d’annoncer l’efficacité anti-variant de son médicament contre le Covid-19. Il s’agit d’un traitement pour les personnes atteintes de Covid modéré qui empêche l’aggravation de la maladie et l’entrée en réanimation. Le Xav-19 est un médicament mis au point par Xenothera.
Dans ce flacon, des anticorps qui neutralisent la protéine externe du virus, celle qui s’accroche sur les cellules respiratoires. L’essai est mené sur 400 personnes et le produit se révèle efficace contre les variants circulant actuellement.
«C’est un médicament qui sert au traitement, pour traiter les patients hospitalisés, malades qui ont besoin d’oxygène», selon François Raffi, chef SCE Maladies Infectieuses au CHU de Nantes. (fev 2021)
Osé immuno développe des immunothérapies innovantes.
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Pour Arnaud Chiche, réanimateur à Hénin-Beaumont et fondateur du collectif Santé en danger, la sortie du Président de la République est clivante et éloigne du vrai débat. « Les chiffres sont têtus, oui ce sont des non-vaccinés qui occupent principalement les lits de réanimation. Mais les stigmatiser, c’est un peu comme allumer un contre-feu. Car en dehors des vagues de Covid-19, les hôpitaux sont en situation quasi chronique de déprogrammation chirurgicale par manque d’effectifs médicaux et paramédicaux. On est tous unanimes sur le cynisme ……. , mais le plus grand cynisme, c’est de ne pas annoncer un grand plan pour la santé ».
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Bactéries résistantes aux antibiotiques:
Alors que le monde lutte pour mettre fin à la pandémie de Covid-19, les experts affirment que nous sommes déjà confrontés à une autre menace mondiale de maladie infectieuse. Les bactéries résistantes aux antibiotiques ne reçoivent pas autant d’attention que le Covid-19, car les maladies qu’elles provoquent se propagent lentement et régulièrement, au lieu de prendre le monde d’assaut en peu de temps. Mais ces superbactéries pourraient devenir une menace de niveau Covid, selon les scientifiques. Et cela se produira à un rythme lent.
Dans le monde, environ 700 000 personnes meurent chaque année d’une infection bactérienne résistante aux antibiotiques. L’Organisation mondiale de la santé prévoit qu’au rythme actuel, environ 10 millions de personnes pourraient mourir chaque année d’infections résistantes aux antibiotiques d’ici 2050.
En raison de la prescription excessive d’antibiotiques, de leur utilisation excessive pour le bétail et d’autres facteurs notamment environnementaux, de nombreux types différents d’infections bactériennes, y compris des souches de gonorrhée, de tuberculose et de salmonelle, sont devenus extrêmement difficiles, voire parfois impossibles à traiter.
L’explication à cette situation réside dans cette fraction des bactéries contre lesquelles les antibiotiques ne font rien, qui évoluent et se reproduisent, développant une résistance immaîtrisable. Dans le monde, 230 000 personnes meurent chaque année de la seule tuberculose résistante aux antibiotiques. « Il est de plus en plus probable que cette infection bactérienne sera très difficile à traiter, voire impossible, et les infections bactériennes non traitables sont mauvaises. Les infections bactériennes non traitables font beaucoup de dégâts », confie au magazine Insider Sarah Fortune, professeur d’immunologie et de maladies infectieuses à l’université de Harvard. « Elles tuent les gens. »
« Bactéries cauchemardesques »
Steffanie Strathdee, professeur de médecine à l’université de Californie, San Diego, regrette que nous ne parlions pas assez de cette menace : « Contrairement au COVID-19, qui est apparu soudainement et a éclaté sur la scène, la crise des superbactéries est en train de mijoter », déclare-t-elle. « C’est déjà une pandémie. C’est déjà une crise mondiale, et elle s’aggrave avec le COVID ».
Sur Arte, l’histoire des virus mangeurs de bactéries (lemonde.fr)
La pneumonie acquise sous ventilation mécanique (PAVM) est l’infection nosocomiale la plus fréquente en réanimation. Elle présente une mortalité élevée (20%) et prolonge la durée de la ventilation mécanique et d’hospitalisation en réanimation. Les bactéries les plus fréquemment responsables de cette infection sont les entérobactéries, Pseudomonas aeruginosa et Staphylococcus aureus. Les résultats obtenus démontrent un effet majeur des phages de Pherecydes Pharma administrés localement ou par nébulisation (inhalation) dans des modèles animaux d’infections pulmonaires.
Pherecydes Pharma (pherecydes-pharma.com)
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La « malbouffe » à l’origine de 20% des décès !
Bruxelles invoque la nécessité de lutter contre les effets de la malbouffe: « +de 950000 décès survenus dans l’UE en 2017 (soit 1 sur 5) sont imputables à des régimes alimentaires peu sains. » La Covid n’a fait que la conforter.(source Investir)
Il est important d’avoir une bonne immunité et résistance aux maladies, par une bonne hygiène de vie, une nourriture saine, un moral d’acier pour une santé de fer…
Le microbiote intestinal regroupe l’ensemble des microbes présents dans notre intestin. Il permet un bon fonctionnement ainsi qu’une certaine protection du côlon.
Voir notre article : maladie du foie gras ou histoire de sucre
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Le système immunitaire a un fonctionnement double, à l’origine de deux types d’immunité : innée et acquise.
- L’immunité innée (ou non spécifique) intervient dans un premier temps. Elle se manifeste par une circulation permanente des globules blancs dans le sang et la lymphe pour neutraliser les éléments perçus comme étrangers.
Cette première forme d’immunité est capable de réagir de façon rapide. Cependant, elle n’est pas en mesure d’adapter sa réponse spécifiquement à chaque pathogène. Une autre forme d’immunité prend alors le relai : l’immunité acquise (ou adaptative), qui prend un peu plus de temps à se mettre en place.
- L’immunité acquise : Les cellules intervenant principalement dans l’immunité acquise sont les lymphocytes. Après leur production en grande quantité, ils peuvent migrer vers les tissus attaqués pour détruire de manière spécifique les éléments étrangers identifiés comme dangereux.
Mais ce n’est pas tout. L’immunité adaptative a aussi la capacité de garder les agresseurs qu’il a rencontrés en mémoire. Ainsi, elle peut répondre avec plus d’efficacité et de rapidité si l’un de ces corps étrangers réapparaît.
La production d’anticorps est-elle toujours efficace en cas d’infection ?
Les anticorps sont des formes de molécules du système immunitaire. Leur production s’effectue presque toujours en présence d’éléments étrangers. Cependant, ce n’est pas toujours le cas en situation de déficit immunitaire (immunodépression ou suppression).
Cette fabrication d’anticorps ne dépend absolument pas de l’apparition de symptômes et peut se développer même en cas d’infection asymptomatique. Quel que soit l’agent pathogène en cause, la quantité d’anticorps produite est fonction de la charge de pathogènes, des spécificités de l’hôte et de la nature même de l’agent infectieux. Ainsi, nos anticorps ne parviennent pas toujours à nous protéger du développement de la maladie. Cela peut être dû à la nature même de la pathologie, à un déficit immunitaire ou à un système immunitaire mal « entretenu ».
.mémoire immunitaire
suite à l’infection l’organisme peut également développer une mémoire immunitaire qui peut subsister longtemps après que la concentration de ces anticorps et de ces lymphocytes a chuté. Cette mémoire immunitaire permet de relancer rapidement la production d’anticorps et de ces cellules en cas d’infection.
.Immunité mucosale
Mais le taux d’anticorps ou de lymphocytes n’est pas le seul paramètre à prendre en compte.
Il reste toutefois possible, et même plausible, que l’immunité post-infection diffère par certains aspects de l’immunité post-vaccinale. Ce, notamment en raison des conditions d’exposition de l’organisme à l’antigène viral (la protéine reconnue par le système immunitaire). En effet, une différence notable entre une infection respiratoire et une vaccination est le point d’entrée de cet antigène : les muqueuses respiratoires et les cellules pulmonaires d’une part, le muscle du bras d’autre part.
Or, de multiples travaux appuient l’idée que les réactions immunitaires au niveau des muqueuses entraînent le développement de mécanismes de défenses spécifiques, permettant une grande réactivité contre l’infection. L’immunité induite par la vaccination n’aura pas cette spécificité (les recherches sur une vaccination anti-covid par voie nasale visent d’ailleurs à contourner ce problème).
Autre spécificité notable : l’infection entraîne la production d’anticorps qui ciblent deux types de protéines à la surface du virus (spike et nucléocapside), contre une seule avec le vaccin (spike). Toutefois, la neutralisation de la protéine spike, qui est celle qui se lie aux récepteurs cellulaires, est théoriquement suffisante pour protéger contre l’infection.
Mais ces différences restent, à elles seules, insuffisantes pour considérer l’immunité post-infectieuse plus protectrice que l’immunité post-vaccinale.
Ce débat scientifique sur la protection acquise contre l’infection est rendu d’autant plus difficile à analyser qu’il met en jeu l’apparition de variants du Sars-CoV-2… dont les divergences structurelles peuvent diminuer l’efficacité d’une immunité acquise en contacts d’autres antigènes.
Un mode de vie malsain peut en effet induire l’affaiblissement du système immunitaire. Il faut donc modifier les facteurs en cause et adopter les bons gestes.
SYSTÈME IMMUNITAIRE : Les secrets de son bon fonctionnement | santé log (santelog.com)
-Le labo Eurofins peut effectuer un test d’immunité des cellules T contre le Covid-19.Ce test permet de comprendre la réaction d’un patient aux antigènes viraux, fournissant des informations précieuses pour aider à prendre des décisions de traitement.
Il mesure notamment la réponse des lymphocytes T aux protéines de pointe et nucléocapside du SARS-CoV-2 afin d’évaluer l’immunité à médiation cellulaire contre le coronavirus.
Eurofins pense que cet outil pourrait constituer un instrument ‘essentiel’ pour évaluer la mémoire immunologique du virus, et même indiquer un niveau de protection contre des infections futures.
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il existe une catégorie : « les guéris » (comme en Suisse)
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